De nos jours, de nombreux investisseurs décident d’opter pour les ETF car ces derniers se révèlent plus efficaces que les fonds actifs. Il s’agit, en effet, d’un investissement passif qui permet de répliquer facilement des indices de référence et qui propose de faibles frais de gestion évalués à 0,25% par an en moyenne.
Mis à part cela, les ETF sont bien règlementés et sécurisés et ils permettent une diversification très motivante. Cependant, il convient de noter qu’il faut tenir compte des critères suivants pour créer un bon portefeuille de trackers.
Le type d’indice boursier à suivre
Pour bien choisir un ETF, il faut tout d’abord décider sur quel indice il faut investir. Parmi les plus connus, il y a lieu de citer par exemple le MSCI World, le S&P 500, le Dow Jones, le NASDAQ, le RUSSEL 2000, le Nikkei 225, le MSCI Emergingmarkets, le CAC 40 et le STOXX Europe 600. Donc, c’est à l’investisseur de voir s’il veut prendre un seul tracker World ou n’investir que sur la France.
Le type d’enveloppe
Le second critère de sélection est l’éligibilité au PEA. D’après les informations récoltées sur https://www.epargnant30.fr/, les prestataires peuvent acheter des trackers sur différentes enveloppes, notamment sur le PEA, le CTO ou l’assurance-vie. Cependant, il est conseillé de privilégier le PEA pour bénéficier de frais et de fiscalité avantageux.
Le type d’émetteur d’ETF
Par ailleurs, il est également recommandé d’investir dans des ETF d’émetteurs solides tels que Lyxor ou Amundi pour bénéficier d’un bon encours et d’une bonne liquidité. Avec ce genre d’émetteurs, les investisseurs peuvent acheter et vendre facilement et ils auront un prix d’achat qui est presque égal au prix de vente.
Le type de distribution des dividendes
L’autre critère de choix à ne pas négliger aussi est la politique de distribution des dividendes. Il se peut justement que les dividendes soient capitalisés ou distribués mais il est suggéré aux investisseurs d’opter pour la seconde option pour pouvoir réinvestir ailleurs et pour pouvoir dégager une rente.
Le type de réplication
Pour terminer, il y a lieu enfin de choisir entre la réplication physique et la réplication synthétique. La réplication physique ou directe consiste à posséder des sociétés exactement dans les mêmes proportions que l’indice suivi ; tandis que la réplication synthétique ou indirecte consiste à acheter des entreprises pour pouvoir échanger auprès d’un autre acteur financier la performance du portefeuille avec celle de l’indice à suivre.
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